En effet, lorsqu`on on voit comment le Bush du grand mensonge des ADM et gourou de psychopathie mondiale:
Ces Présidents (de certains pays de l`Occident démocratique, et des autres dits « en voie de développement ») - qui, une fois au pouvoir (Par le vote, ou un coup état militaire) agissent comme s`ils étaient les ennemis de leurs peuple.
Ces présidents qui jettent leurs peuples dans des guerres d`occupation qui non seulement tuent en masses des populations dans des pays qui ne leur appartiennent pas, mais aussi font des morts inutiles parmi les leurs - et qui sans pitié suspendent sur la vie de leurs gouvernés, l` épée de Damoclès de la peur et l`insécurité quotidiennes.
Ces présidents qui enlèvent le pain de la bouche de leur peuple, les privent de logements décents, et toute protection sociale, pour les investir dans les grands trusts d`armements, « la guerre des étoiles » et le maintien d`une armada belliqueuse hors des frontières de leurs pays. Et qui « choisissent » parmi leurs ministres, des hommes et des femmes pour qui le peuple n`a aucun respect… Sachant qu`ils sont des corrompus, ou des arrivistes sans principes moraux ou politiques.
Du Nord au Sud, l’incompétence, quand ce ne sont pas la bêtise, la bassesse et la trahison des « hommes et femmes de progrès » ( ?) sont généralement à l’origine de ces catastrophe (faut-il donner des exemples, des dates et des noms ? Je préfère laisser le soin à chacun de reconnaître les siens… ces incapables qui les gouvernent !)... sauf l`Espagne, qui a réussi une transition démocratique harmonieuse, où tout le monde ( selon un sondage d`opinion en Europe) préfère vivre...
Ces présidents qui pervertissent les personnages qui représentent (à tort ou à raison) les valeurs morales de leur pays dans l’opinion publique. Et qui marginalisent ou poussent à l`exil les meilleurs de leurs concitoyens.
Ces présidents qui détruisent l’intelligence et l’élite de leur pays et ensuite par le chaos gouvernent. Et surtout cachent leurs crimes sous de faux noms, avec l’aide de leurs médias nationaux...ou supranationaux.
Ces présidents qui nomment aux plus hautes instances de l`état, certains hommes et femmes, dont chacun sait qu’ils n´ont ni foi ni loi et que leur prétendu mérite professionnel ou politique n´est que parasitaire ou le fait d`avoir retourné leur veste … Et de la sorte, en leur faisant perdre leur honneur, ils montrent à l`opinion que ces femmes alibis et hommes potiches, sont corruptibles. Car c´est ainsi qu`ils pratiquent "l`art de gouverner" - par des actes de subversion des valeurs nationales et le plus haut des mépris envers le pays qu`ils prétendent incarner.
C´est ainsi que, l’homme politique pédagogue, défenseur d’une cause, de valeurs, l’homme de confiance est devenu souvent un affairiste de la politique.
Mais encore, j`insiste : comment expliquer que dans ces pays où l`on peut voter librement pour le président de son choix, des réactionnaires, des démagogues populistes souvent soutenus par des profiteurs, liés aux milieux financiers, puissent avoir un électorat aussi fourni ?
De deux choses l’une : ou bien le peuple est complètement débile...ou bien tout est fait, pour infantiliser ce peuple , qu ils méprisent , mais dont ils ont en besoin pour assurer leur légitimité.
Oui, on sait que les peuples ont besoin de héros et c´est pourquoi on prend soin de leur présenter des bateleurs e des hâbleurs. Ainsi manipulés, ils sont réduits à n´être plus que des tubes digestifs ou de la chair à canons
"Le bon gouvernement est celui qui rend heureux ses gouvernés et attire ceux qui vivent loin du pays" – disait ce grand sage Confucius.
Comment alors prétendre que l`on veut répandre la démocratie et la liberté de par le monde ? Et assurer la paix aux peuples? Comment ne pas constater encore une fois la déformation permanente de l’information qui fait des ravages ?
Savoir dire non aux dérives qui rabaissent l'homme à l'état d'animal, savoir dire non à l'arbitraire. Les exclusions constituent le mal social contre lequel il faut mobiliser toutes les énergies. Mais la preuve la plus criante du rôle destructeur de l'établissement en matière de règles morales, c'est encore la multiplication des affaires de corruption qui frappe de plein fouet la classe politique et la classe médiatique, c'est-à-dire ceux-là mêmes qui, de par leur fonction devraient être des exemples de rigueur et de désintéressement.