jeudi, septembre 22, 2011

Bravo Président! God Bless Hugo Chavez The Noblest Leader of that time!!!

Conscience de l’Humanité, Hugo Chavez est un authentique exemple de chef d’état. Son pays, le Venezuela, et la majorité des Etats d’Amérique reconnaissent l’Etat palestinien, ce dont aucun des médias mainstream ne souffle mot... En cet instant, la planète observe comment USA et UE, font tout pour empêcher l’existence de la Palestine ! Alors que du point de vue juridique, l’ETAT DE PALESTINE EXISTE BEL ET BIEN ! En effet, la Résolution de l’ONU en 1948 en créant l’Etat israélien a aussi reconnu l’Etat palestinien ! Pourquoi donc, nul n’a pris la peine de relire cette pièce juridique qui existe à l’ONU ?? Comment aucun diplomate aucun juriste et même les dirigeants palestiniens ne rappellent pas ce fait ? Quant à Ban Ki Moon, il semble être complice dans cette opération de la tromperie et des manœuvres de déviation du Droit ! Devant Israël il y a faillite des Etats, de l’ONU, du Droit international et de l' éthique.

Une autre vérité qu’ il faut préciser, contrairement aux analystes politiques en Europe ou aux USA ( qui participent à la campagne d’intimidation occidentalo-israèlienne contre l’ Autorité palestinienne) – Si, Mahmoud Abbas, accepte un siège équivalent à celui du Vatican ou de l’ ordre de Malte, en se soumettant encore une fois, à la promesse d’ une reprise des négociations de paix, il affrontera la colère du peuple palestinien avec le risque de renforcer le leadership de Hamas - ( qui proclame à tout vent, l’ incapacité du président de l' AP, de mener jusqu’au bout ses « défis », l’ accusant même de complicité avec les sionistes) - au sein de tout le peuple palestinien qui ne lui pardonnera jamais d’ avoir capitulé face aux pressions d’ Israël !

En revanche, en demeurant ferme sur l’admission de la Palestine comme membre de l’Onu à part entière au Conseil de sécurité, (même si, qu’à Dieu ne plaise, il échoue !) – le président palestinien sera ovationné non seulement dans les travées de la salle de l’ONU, mais aussi par son peuple qui sera fier de sa résistance. Ceci, en plus d’ouvrir, une bonne fois pour toute, les yeux du monde, sur le double discours des chefs d’Etats occidentaux, avec à leur tête les US, concernant la morale, la démocratie et les droits humains, et un Obama, plus discrédité que jamais... En espérant que cela sonnera le réveil de la "vraie" rue arabe pour un " printemps de la dignité"( qui fait tant défaut en ce moment) contre leurs criminelles ingérences militaires et économiques qui ont déjà humilié et détruit tant de pays arabes et musulmans!
Et maintenant, place à la lecture de cette admirable lettre- ( qui fait la UNE dans le Net) - du Président Hugo Chavez, en priant Dieu, de le protéger dans sa lutte contre la maladie, et de lui accorder une longue vie !



gif animé main
Version française de la lettre adressée par le Président Hugo Chavez à Monsieur Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, approuvant la création d'un Etat palestinien:
Miraflores, le 17 septembre 2011
Son Excellence
Monsieur Ban Ki-Moon
Secrétaire général
Organisation des Nations Unies
Monsieur le Secrétaire général ;
Honorables représentants des peuples du monde,
Je m’adresse à l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies, à cette grande tribune où sont représentés tous les peuples de la Terre, pour réaffirmer aujourd’hui et en ce lieu l’appui total du Venezuela à la reconnaissance de l’État de Palestine, au droit de la Palestine de se convertir en un État libre, souverain et indépendant. Il s’agit là d’un acte de justice historique envers un peuple qui porte en soi depuis toujours toute la douleur et toute la souffrance du monde,
Le grand philosophe français Gilles Deleuze a dit, empruntant l’accent de la vérité, dans son ouvrage mémorable La grandeur de Yasser Arafat : La cause palestinienne est avant tout l’ensemble des injustices que ce peuple a subies et continue de subir. Elle est aussi – oserai-je ajouter – une volonté de résistance permanente et irréductible qui est d’ores et déjà inscrite dans la mémoire héroïque de la condition humaine. Une volonté de résistance qui naît de l’amour pour la terre. Mahmoud Darwish, cette voix infinie de la Palestine possible, nous parle depuis le sentiment et la conscience de cet amour :
Qu’avons-nous besoin du souvenir
le Mont Carmel est en nous
et sur nos paupières pousse l’herbe de Galilée
Ne dis pas : Que ne courrions-nous pas comme un fleuve pour le rejoindre
Nous sommes dans la chair de notre pays
Il est en nous

Contre ceux qui soutiennent à tort que ce que le peuple palestinien a souffert n’est pas un génocide, Deleuze soutient avec une lucidité implacable : D’un bout à l’autre, il s’agira de faire comme si le peuple palestinien, non seulement ne devait plus être, mais n’avait jamais été. C’est là - comment dire ? – le degré zéro du génocide : décréter qu’un peuple n’existe pas ; lui nier le droit à l’existence.
À ce sujet, saluons la raison le grand écrivain espagnol Juan Goytisolo lorsqu’il affirme catégoriquement : La promesse biblique de la terre de Judée et de Samarie aux tribus d’Israël n’est pas un contrat de propriété entériné par-devant notaire qui autorise à expulser de leur terre ceux qui y sont nés et qui y vivent. Aussi la solution du conflit du Moyen-Orient passe-t-elle forcément par la justice à rendre au peuple palestinien : telle est la seule voie si l’on veut conquérir la paix.
Nous souffrons et nous indignons en constatant que ceux qui ont subi l’un des pires génocides de l'Histoire se sont convertis en bourreaux du peuple palestinien ; nous souffrons et nous indignons en constatant que le legs de l’Holocauste est la Nakba. Il est simplement indignant tout court de constater que le sionisme continue de recourir au chantage de l’antisémitisme contre ceux qui s’opposent à ses sévices et à ses crimes. Israël a instrumentalisé et instrumentalise d’une façon éhontée et vile la mémoire des victimes. Et il le fait pour pouvoir agir en toute impunité contre la Palestine. Il va sans dire, au passage, que l’antisémitisme est une plaie occidentale, européenne, dont les Arabes ne sont pas partie prenante. De plus, n’oublions pas en plus que c’est le peuple sémite palestinien qui souffre de l’épuration ethnique pratiquée par l’État colonialiste israélien.
Qu’on me comprenne bien : une chose est de refuser l’antisémitisme, autre chose, et une autre, très différente, est d’accepter passivement que la barbarie sioniste impose au peuple palestinien un régime d’apartheid. D’un point de vue éthique, quiconque refuse la première doit condamner la seconde.
Qu’il me soit permis une digression nécessaire : il est franchement abusif de confondre sionisme et judaïsme ; nombre d’intellectuels juifs, tels Albert Einstein et Erich Fromm, se sont chargés de nous le rappeler au fil du temps. Et, aujourd’hui, de plus en plus de citoyens conscients au sein même d’Israël, s’opposent ouvertement au sionisme et à ses pratiques terroristes et criminelles.
Il faut le dire clairement : le sionisme, comme vision du monde, est foncièrement raciste. Ces affirmations de Golda Meir, d’un cynisme atterrant, en sont une preuve criante : Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre ! Ce que l’on appelle les Palestiniens n’existe pas. Ce n’était pas comme s’il y avait eu un peuple en Palestine, qui se considérait comme le peuple palestinien, et que nous étions venus, les avions jetés dehors et leur avions enlevé leur pays. Ils n’existaient pas.
Rappelons-nous : c’est dès la fin du XIXe siècle que le sionisme a parlé du retour du peuple juif en Palestine et de la création d’un État national qui lui soit propre. Cette prise de position s’imbriquait parfaitement dans le colonialisme français et britannique, comme il ferait ensuite dans l’impérialisme yankee. L’Occident a, depuis toujours, appuyé et encouragé l’occupation sioniste de la Palestine par la voie militaire.
Lisez et relisez donc ce document qui est connu historiquement comme laDéclaration de Balfour de 1917 : le gouvernement britannique s’arrogeait la faculté de promettre aux juifs un foyer national en Palestine, en dénigrant délibérément la présence et la volonté de ses habitants. Et rappelons que chrétiens et musulmans ont vécu en paix, des siècles durant, en Terre sainte jusqu’à ce que le sionisme ait entrepris de la revendiquer comme sa propriété entière et exclusive.
Rappelons encore que, dès la deuxième décennie du XXe siècle, le sionisme, profitant de l’occupation coloniale de la Palestine par la Grande-Bretagne, a commencé à développer son projet expansionniste. Et qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le peuple palestinien verrait sa tragédie empirer par son expulsion à la fois de son territoire et de l’Histoire. La résolution 181 des Nations Unies – ignominieuse et illégale – recommanda en 1947 la partition de la Palestine en un État juif, en un État arabe et en une zone sous contrôle international (Jérusalem et Bethléem), concédant ainsi – quelle honte ! – 56% du territoire au sionisme pour qu’il y constitue son État. Cette Résolution violait de fait le droit international et bafouait d’une manière flagrante la volonté des grandes majorités arabes : le droit des peuples à l’autodétermination devenait lettre morte.
De 1948 à nos jours, l’État sioniste a poursuivi sa stratégie criminelle contre le peuple palestinien. Pour ce faire, il a toujours pu compter sur un allié inconditionnel : les États-Unis d’Amérique. Et cette inconditionnalité se traduit par un fait bien concret : c’est Israël qui oriente et fixe la politique internationale étasunienne au Moyen-Orient. Edward Saïd, cette grande conscience palestinienne et universelle, soutenait avec force raison que tout accord de paix qui se construirait sur l’alliance avec les USA, loin d’amenuiser le pouvoir du sionisme, le confortera.
Toutefois, contrairement à ce qu’Israël et les États-Unis prétendent faire croire au monde à travers les multinationales de la communication et de l’information, ce qui est arrivé et ce qu’il continue d’arriver en Palestine n’est pas – disons-le avec Saïd – un conflit religieux : c’est un conflit politique marqué du sceau du colonialisme et de l’impérialisme ; ce n’est pas un conflit millénaire : c’est un conflit contemporain ; ce n’est pas un conflit qui est né au Moyen-Orient : c’est un conflit qui est né en Europe.
Quel était et quel est encore le nœud du conflit ? Le fait qu’on privilégie dans les discussions et les analyses la sécurité d’Israël, jamais celle de la Palestine. L’histoire récente le corrobore : il suffit de rappeler la nouvelle équipée génocidaire déclenchée à Gaza par Israël à travers l’opération Plomb fondu.
La sécurité de la Palestine ne peut se réduire à la simple reconnaissance d’un auto-gouvernement et d’un auto-contrôle policier limités dans ses « enclaves » de la Rive Ouest du Jourdain et de la bande de Gaza, tout en ignorant non seulement la création de l’État palestinien dans les frontières antérieures à 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale, les droits de ses nationaux et le droit de son peuple à l’autodétermination, mais encore le droit à la compensation et le droit au retour de la moitié de la population palestinienne dispersée dans le monde entier, aux termes de la Résolution 194.
Il n’est pas croyable qu’un pays, Israël, qui doit son existence à une résolution de l’Assemblée générale puisse mépriser à ce point les résolutions émanant des Nations Unies ! Voilà ce que dénonçait le père Miguel D’Escoto quand il réclamait la fin du massacre de la population de Gaza fin 2008 et début 2009.
Monsieur le Secrétaire général ;
Honorables représentants des peuples du monde,
On ne saurait ignorer la crise des Nations Unies. Nous avons soutenu en 2005, devant cette même Assemblée générale, que le modèle des Nations Unies était épuisé. Le fait que le débat sur la question de Palestine ait été ajourné et qu’on soit en train de le saboter ouvertement en est une nouvelle confirmation.
Washington ne cesse de répéter depuis plusieurs jours qu’il opposera son veto, au Conseil de sécurité, à ce qui sera une résolution majoritaire de l’Assemblée générale : à la reconnaissance de la Palestine comme membre de plein droit de l’ONU. Nous avons d’ores et déjà déploré, aux côtés des nations sœurs qui constituent l’Alliance bolivarienne des peuples de Notre Amérique (ALBA), dans la Déclaration de reconnaissance de l’État de Palestine, qu’une aspiration si juste soit bloquée par ce biais. L’Empire, nous le savons tous, prétend dans ce cas comme dans d’autres imposer un deux-poids-deux-mesures dans l’arène internationale : c’est là la double morale yankee qui, tout en violant le droit international en Libye, permet à Israël de faire ce qu’il lui chante, devenant ainsi le principal complice du génocide que la barbarie sioniste commet contre les Palestiniens. Je rappelle une phrase de Saïd qui met bien le doigt sur la plaie : compte tenu des intérêts d’Israël aux États-Unis, la politique de ce pays au Moyen-Orient est donc israélocentriste.
Je voudrais conclure en faisant entendre la voix de Mahmoud Darwish dans son mémorable poème Sur cette terre :
Il y a sur cette terre ce qui mérite de vivre
il y a sur cette terre,
le commencement des commencements,
la fin des fins.
On l’appelait Palestine et on l’appelle désormais Palestine.
Madame, je mérite, parce que vous êtes ma dame,
je mérite de vivre.

Elle continuera de s’appeler la Palestine. La Palestine vivra et vaincra ! Vive la Palestine libre, souveraine et indépendante !
Hugo Chávez Frías
Président de la République bolivarienne du Venezuela

mardi, septembre 20, 2011

Palestine: Mahmoud Abbas Tenez Bon!!


"Notre démarche n'est pas un saut dans le vide. Nous cherchons notre indépendance et nous nous interrogeons face à la division de la communauté internationale. Quand aurons-nous droit à un État?"
— Mahmoud Abbas
***
Alors, il ne faut pas fléchir! Ne pas céder aux pressions du décevant Obama paralysé par sa trouille de l' AIPAC qui lui permettra ( croit-il) de gagner un 2e mandat... ni des boniments de l´hypocrite Sarkozy! En effet, pendant que sévit le génocide au compte-goutte du peuple palestinien par Israël, eux sont préoccupés par leurs intérêts sordides. B.Obama pense à l' échéance électorale de l' an prochain, B.Netanyahou espère ( en est certain dit-on) que Obama ne sera pas réélu, et qu' avec les Républicains au pouvoir, il pourra terminer sa sinistre oeuvre au noir dans la main-mise totale de la Palestine!

Par ailleurs, B. Nétanyahou s'inquiète de l'intention évoquée par les Palestiniens d'utiliser ce nouveau statut à l'ONU pour présenter un recours contre la colonisation devant la Cour pénale internationale (CPI), rapporte le quotidien israélien, Haaretz. Il aurait exprimé cette préoccupation devant des interlocuteurs européens et lors d'une rencontre jeudi avec les émissaires américains Dennis Ross et David Hale qui tentent in extremis de dissuader les Palestiniens de s'adresser à l'ONU, précise le quotidien.

«Un vote de l'ONU permettra aux Palestiniens de porter plainte contre Israël devant la CPI de La Haye, sous l'accusation d'avoir perpétré un crime de guerre en établissant des colonies dans un territoire» appartenant désormais à un État, estime le professeur de droit international Youval Shany.

«Un recours devant la CPI contre la colonisation apparaît dans ce contexte comme la carte la plus forte, et la plus dangereuse pour Israël, dont disposeront les Palestiniens après ce vote», a souligné M. Shany, lors d'une conférence de l'Institut israélien de la Démocratie. Selon lui, " les dirigeants israéliens risquent de se retrouver au ban de la communauté internationale à l'instar d'un Mouammar Kadhafi, le dirigeant libyen déchu, visé par un mandat d'arrêt de la CPI."

"Une démarche auprès de la CPI risque de poser un sérieux problème à Israël", relève le juriste israélien Claude Klein... "Jusqu'alors, elle avait été rendue impossible du fait que le procureur de la Cour s'abstenait de statuer sur la recevabilité de plaintes palestiniennes», seuls les États pouvant saisir la CPI" , rappelle ce professeur de droit international de l'Université hébraïque de Jérusalem."

De telles plaintes, restées sans effet, avaient été présentées contre Israël par les Palestiniens à la suite de sa dévastatrice offensive «Plomb durci» à Gaza, en décembre 2008-janvier 2009, qui avait fait plus de 1400 morts palestiniens.

Mais encore, un responsable gouvernemental israélien, parlant à l'AFP sous couvert d'anonymat, a noté:" Israël n' a pas trop de souci à se faire, car il n'a pas ratifié le traité de Rome, reconnaissant l' autorité du CPI, et n' est donc pas tenu d' en appliquer les décisions."

Bien évidemment, l' arrogance de l' occupant, sûr de l' impunité, ne cesse de voler ce qui reste de la Palestine! Puisqu 'Israël a déjà installé plus d'un demi-million d'habitants dans les colonies de Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupé et annexé!

Car, selon l'ONG israélienne anti-colonisation «La Paix Maintenant»: plus de 100 colonies fondées depuis 2001 en Cisjordanie ont finalement reçu l'aval et le soutien matériel des autorités. Cependant qu' au yeux de la communauté internationale, toutes les implantations juives dans les Territoires occupés depuis 1967 sont illégales.

Par conséquent, il ne reste plus à l' AP ( Autorité Palestinienne) qu' à être à la hauteur de son défi ( de son Droit plutôt!) - N'accepter ni un statut d' observateur", ni le modèle " Vatican"! Mais un Etat à part entière à l' ONU! Et advienne que pourra! De toute manière la Palestine n' a plus rien à perdre, après 62 ans d' occupation et des décennies de "négociations" qui ont permis à Israël de prolonger sa colonisation en occupant presque toutes les terres, jusqu'à réduire la Palestine à une peau de chagrin. Et même la sainte Mosquée d' al Aqsa est sur le point de faire partie du "patrimoine juif"!!! Dans cette situation terrible du risque de l´annulation (solution finale) d´un peuple et d´un pays, s' il ne reste plus qu' une ruelle de"libre" dans la Palestine, il faut qu'elle devienne un ETAT PALESTINIEN... mais jamais plus d' arnaques des accords bidons!

Aussi, la délégation Palestinienne n'a-t-elle pas le droit de laisser le président Mahmoud Abbas se plier devant les intimidations des US et de l' UE, qui ne roulent que pour les intérêts d' Israël!

Mais le pire dans l' infamie morale des leaders ( USA +UE) est de soumettre à prix l' indépendance de la Palestine, comme le rapporte la presse française ( le Monde) : " Combien pour une reconnaissance comme Etat membre de l' ONU?" ... Et personne ne se pose la question sur le coût de la création et l' entretien d' Israël depuis 62 ans??

Ce même article ajoute:" en effet, la démarche palestinienne risque d´être coûteuse si on en croit James Traub dans Foreign Policy, ou David Makovsky du Washington Institut for Near East Policy (Winep), qui rappelle l´un et l´autre, qu´en quel cas, le Congrès américain couperait immédiatement les vivres à l´Autorité palestinienne".

Quant aux Arabes, il paraît " que les plus fortunés ( Emirats arabes unis, Arabie saoudite etc...) sont aussi "fatigués" quelles que soient leurs déclarations en faveur d' Etat Palestinien membre de l' ONU".
Ceux-là ne sont pas "fatigués"aussi de financer les guerres de l' OTAN, dans "certains" pays arabes, n'est-ce-pas?

Pendant ce temps l' espoir demeure... Après une vaste campagne diplomatique, quelque 112 pays ont reconnu la Palestine comme un Etat indépendant et plus sont attendus pour le faire. Les Palestiniens ont besoin du soutien de 129 pays à appliquer la résolution 377 et sécuriser un vote de l'Assemblée générale sur l'adhésion à l'ONU. Ce sera cela, ou 3ème Intifada à l'intérieur! Un printemps palestinien qui fera intervenir les tueurs de Tsahal, et on verra si "les gendarmes humanitaires" de l' OTAN, voleront au "secours d' un peuple en danger!"