"TIENS PRENDS CE BAISER DE L´ADIEU ESPÈCE DE CHIEN!" -a crié le journaliste irakien en bondissant pour lancer ses chaussures à la tête du président américain. C´était un symbole vraiment fort – tout à la fois de l`honneur arabe (encore debout en dépit des apparences) – et la décadence du mythe moralisateur et porteur de « liberté » au monde (malgré lui !) de l`empire américain. Chaussures sur la tête et qualificatif de « chien » sont les armes d´une résistance fière, contre les missiles des lâches – qui pour bâtir leur empire s`attaquent de préférence aux peuples qui ne peuvent pas se défendre avec les mêmes armes.
***Chaussures jetées à la tête du criminel - qu`aucun Tribunal International de la Haye à Oslo, n`osera juger - est un geste à sa manière "pacifique" contre la force brutale de ces bombardements sans merci sur des populations civiles -encore vifs dans la mémoire du monde; suivies de l`ignominie des tortures (impunies) de Abu Ghraïb, de Guantanamo, et des prisons secrètes essaimées dans le monde des collabos sans vergogne. Le geste du journaliste, est un acte valeureux, tout comme celui de l`enfant palestinien lanceur de pierres contre les tanks roulant sur lui.
***Un HOMME, seul, s`est levé, armé de ses sandales en jetant l`insulte la plus méprisante qui soit dans la tradition arabe envers les voyous et les assassins , pour venger le peuple innocent d`Irak, et avec lui, tous ceux qui ont éprouvé dans leur dignité humaine et dans leurs vies massacrées, les crimes de guerres fomentés par le chef de la plus grande puissance militaire du monde , et ce faisant, a aussi lavé l`honneur de son pays sali par une partie des félons complices dans la destruction de l`Irak et de leur peuple.
***Merci journaliste irakien encore inconnu, c´est toi qui mérite le Prix de
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C´est ainsi que les hommes vivent et meurent, debouts, contrairement aux criminels de l`histoire, qui, eux mourront sans doute impunis par les hommes, mais grabataires (comme Sharon)… et à jamais, sous la honte et le mépris de l`Histoire… tout cela, par la seule puissance de la malédiction de leurs victimes sur eux... Car, rien ne pourra jamais faire oublier les crimes d`hier et d`aujourd´hui, perpétrés par ces états terroristes de "droit", dont les dirigeants ont encore le front de se pavaner sous les courbettes de politiciens poltrons, de faire la morale au reste du monde sur les « droits de l`homme », la « démocratie » et « la liberté d´expression.»!
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Alors que le butin des guerres immorales, menés par les Bush, Sharon et ses héritiers belliqueux, n`ont apporté au monde, que des infirmes, des affamés, des chômeurs et des voleurs déguisés en politiciens et banquiers…
À l`image de ce Bernard L. Madoff, un juif de New York qui aura grugé les pauvres comme les riches ! Grand escroc devant Jéhovah et les hommes, il n´est que l`anneau d`une longue chaîne de ceux qui auront crucifié le dollar en précipitant le monde dans l`abîme de la récession. Et la roue tourne… les voleurs de
