Ils vivent de la terreur du sang. Quand ils n’ ont rien à se mettre sous la dent, ils mordent le sein qui les a nourris au nom de leur dieu nommé Blasphème dressé sur l’ autel du délire. Ces autoproclamés « djihadistes » sans LIVRE, ni foi, sont ceux dont un hadith du Prophète Mohammed a dit : « Les ennemis de l’Islam viendront de l’intérieur de ma nation »… Et les voici pareils à tous les ratés et les perdants contre plus barbares qu’eux, se vengeant sur leurs propres peuples. Car ces tueurs pleutres, sortis des grottes de l’ignorance antéislamique, massacrent de préférence les musulmans, quel que soit le temps (du hadj, de Ramadhan ou Eid) et le lieu (Maghreb et Machrek arabes), ainsi que des innocents, quels que soient leur religion et leur pays d’origine… Dormant dans les caveaux de la honte, ils ne sont plus que geôliers de leur propre sanglante folie. Comme leurs dernières tueries en Algérie.
Contrairement, aux péroraisons de chroniqueurs en mal d’ arguments fumeux pour « expliquer » en particulier l’ Algérie, et en général le « terrorisme », ces deux attentats en cinq jours, avec leurs dizaines de morts et de blessés, en dehors de leur connotation anti occidentale, ils sont l'illustration d’un certain laxisme sécuritaire et l'incapacité du pouvoir à offrir à son peuple la perspective d'un avenir meilleur. Situation lamentable et dangereuse!
Pourtant, en 
dépit de ces mutants d’ombres et de suaires, ce pays, ce peuple toujours en sang s
ous la peau, est aussi vie. En ce même instant elle est née, pareille à la longue résistance des algériens contre les cannibales de leur terre.
dépit de ces mutants d’ombres et de suaires, ce pays, ce peuple toujours en sang s
ous la peau, est aussi vie. En ce même instant elle est née, pareille à la longue résistance des algériens contre les cannibales de leur terre. ***Ces adorateurs du dieu BLASPHEME
«no pasaran!» (Ne passeront pas). L'espérance en est sûre.
