dimanche, février 18, 2007
ALGÉRIE... LE SILENCE DES CERVEAUX.
Alger la Blanche… sous le voile de la culture de la Corruption!
Il n´y a pas de corruption passive sans corruption active. Il y a dans la corruption une très grande fraternité… à l`image de ces nouvelles algériennes.
Avec le krach de la « fameuse » banque KHALIFA, une certaine image de la communication et de la culture se révèle dans toute sa dimension mercenaire – de ripoux. « Golden boy » banquier et cohorte de « golden girl » de la République, ont fait leur moisson de fric sale et de charges gouvernementales sur le sang des victimes du terrorisme des années noires du pays.
Aujourd´hui, il paraît qu`on juge RAFIK MOUMEN KHALIFA… Un procès qui lève le voile sur ses complices et tous ceux qui ont profité de ses largesses – les petits, hauts fonctionnaires, et parents de tout ce qui fait loi dans le pays.
Ainsi après certaines stars françaises (G. DEPARDIEU et C.DENEUVE) accusés d’avoir reçu des pots-de-vin, payés par KHALIFA BANK & TV lui-même, voilà que l ´ex-directrice générale de KTV et conseillère de la ministre de la Culture est à son tour impliquée dans ce grand racket à l`échelle nationale et internationale ! La prévenue à son tour implique la « ministresse » qui lui aurait donné « l`ordre » d´accepter le poste afin de « contrôler » le fief de la TV privée du magnat Khalifa…
Voilà, nous sommes en pleines magouilles d´espionnage et de contre-espionnage intérieur !!! Le procès –fleuve continue, promettant d`autres rebondissements…
Cela serait possible, si Dame-Justice, sans peur ni reproche parviendra à laver
le paysage algérien de ces gros poissons seigneurs des eaux nauséabondes.
Pour l`instant, espérons que ce ne seront pas seulement les petits larbins de service qui paieront, mais aussi leurs patrons et patronnes – « en dépit » de leurs puissants protecteurs.
Si non… Bonjour la tristesse du silence des cerveaux, et rien de nouveau… sinon la nausée. Pour ceux qui paient, et pour ceux qui empochent, qui ensemble tuent toute intelligence et toute liberté.
Et pour ceux qui se taisent.
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