BLUFF DES AUTOBIOGRAPHIES VANTARDES...

"A beau mentir qui vient de loin »
« Les autobiographies ne sont que mensonges, dit U. G. Les biographies sont doublement mensongères, parce que la biographie et son auteur mentent tous les deux. Tout ce que je pourrais dire sur ma vie passée est forcément déformé par ma condition présente". Paroles d’Uppalari Gopala Krishnamurti Né en Inde du Sud, brahmane et maître spirituel de la philosophie indoue.
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Autrement dit, on peut facilement mentir quand on parle de quelque chose qui n'est pas facilement vérifiable. Et ceci concerne ces supermarchés littéraires ou même ceux qui n´ont rien à dire remplissent 400 pages d´autobiographies mensongères...

C’est parce que je connais le parcours de pensée et de vie de certains des littérateurs de la dernière heure ( en ces temps d’ islamisme et terrorisme ) , bien avant qu’ils ne deviennent des « écrivains » ou des égéries du « féminisme», que je prends la liberté d’évoquer l’opportunisme qui anime les vantards de ces mémoires livresques , ainsi que leurs éditeurs –épiciers de la littérature des grandes surfaces.

Ceci s’applique à beaucoup de pseudos-autobiographies, dont nous inonde, le marché éditoriale de France et de Navarre… Surtout, quand il s’agit d’auteur (es) arabes vivant en immigration choisie, qui se prétendent soudain en « exil politique »… leur témoignage de vie devient un conte exotique sur les cours maraboutiques ou de « nobles » en turban en mal de vie dans leur pays d’origine. C’est ainsi qu’ils se racontent comme descendant (es) de "nobles" marabouts ou de "princesses" ottomanes, si ce n' est des pionniers de la banque dans leur pays… Comme Soha Arafat qui se prétendait fille de banquier palestinien depuis les temps Ottomans en Palestine, et dont le papa, un brave homme sans prétentions en était juste un modeste fonctionnaire…( d’ où sans doute lui est venu ce goût effréné pour l’argent et le luxe!) Sa légende onirique comme celle des autres venus d’orient ou du Maghreb se sont bien vendues à l’opinion crédule grâce aux éditeurs mercantiles, plus enclins à l’argent facile, qu' à la vérité intellectuelle.

Il existe de nombreuses manières de raconter sa vie. Si toutes prétendent à la fidélité, reste encore à savoir comment celle-ci se définit. Fidélité à quoi ? À la vérité intérieure ou à l'exactitude des faits ?

Quelles sont les modalités du « bluff » en littérature lorsque cette tromperie est assimilée à un effet poétique visant à mener le lecteur dans une impasse interprétative ? Vérité ou mensonge, là aussi la question peut être longuement traitée. Mais encore une fois, le mensonge se révèle ici lui-même factice, puisqu'il n'est en réalité qu'une autre forme de l'oubli ; un oubli déformateur, précisément cause de l'écrit.

C’est ainsi que chaque rentrée littéraire est caractérisée par ces fausses autobiographies, de journal, d’essai autobiographiques et mémoires. Les mêmes thèmes sont souvent évoqués, sous des regards très différents. Et ça se vend, ça se prime non pour l' authenticité du récit, ou la valeur littéraire, mais simplement comme c’est à la mode d’ aujourd’hui’ hui, pour

« dénoncer les affres de leur culture, et surtout l’intégrisme » : sujet-sésame pour être encensé dans les médias et dans la tartuferie des nominations littéraires !

Comme dit le proverbe des sages : « L'air ne fait pas la chanson, et dans la bouche du menteur la vérité paraît douteuse, ». Il n’y a rien de plus choquant qu’un écrivain enflé de sa propre personne, qui se vante de l’expérience des autres comme si elles étaient siennes… et de fait, qui n’est qu’un pirate au service de ses propres (pas si propres !) ambitions.

La prochaine fois, j’évoquerai le nouveau « Féminisme de Deauville »…

***Salut, et lisez "bien" afin de ne pas devenir les dindons de la farce des marchands de sable littéraire!

Divorce à la française...

" Le lit est tout le mariage… Il n’y a pas de

mauvais mariages, il n’y a que de mauvais époux"

[Honoré de Balzac]

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Ceci est valable pour l’état d’un pays, il devient ce que ses leaders font de lui : prospère ou misérable, en paix ou en guerre avec lui-même, ou contre les autres. Tout comme dans la France de Sarkozy, où soudain rien ne va plus !
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Après quelques mois de lune de miel, voilà que la rue gronde sa grève, et la bientôt ex-première dame de France, rue hors des grilles du Palais de l’Elysée. Tous contre le président et chacun, chacune pour soi, pour exprimer son raz le bol des contraintes sarkozistes… Ceci sans parler de l’infamie de la loi des tests ADN pour les immigrés !

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Autrement dit, c’est la « rupture » chère au président qui s’est retournée contre lui. Comme quoi il ne faut jamais tenter le sort (le mauvais !)
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Cependant le fait que la nouvelle (ancienne rumeur) du divorce du couple présidentiel tombe juste, le jour de la grève en France, fait penser à un coup médiatique (ces amis du président !) pour torpiller les grévistes. Mais il n’en reste pas moins, que Cecilia quitte cette fois pour de vrai, son mari-président. Enfin libre comme dirait l’autre !
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S’ il est juste, qu’il faille respecter la vie privée des gens, et bien sûr celle des hommes politiques, dans ce cas, voilà un président qui a le premier, exposé son épouse aux feux de la rampe, pour gagner le cœur fleur bleue des votants – qui chacun sait est toujours porté au romanesque.

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Aujourd'hui, ce qui se passe en France, rappelle l’histoire du "voleur volé"… Ce que l’on vole à un autre, finit par être volé un jour!

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En vérité, une femme est pour son mari, ce que son mari l’a faite. C’est aussi vrai en amour, qu’en politique. Comprenne qui voudra !

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Pour ma part, j' ai de la sympathie pour cette belle femme fidèle à ses ancêtres paternels tziganes (1*). Si elle a choisi d' affronter la clameur publique, c' est qu'elle n'était pas heureuse dans ce mariage. Libre,courageuse, elle l'avait prouvé, quand, rappelons-le - elle s' est dérobée au picnic des Bush ! Quel panache dans ce geste! Alors que son époux était tout frétillant d’orgueil sous l’accolade du père, du fils et de toute la sainte tribu du chef de la Maison Blanche… A présent, il faut espérer qu’on va la laisser tranquille, afin qu'elle puisse enfin vivre sa vie.
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Cecilia Ciganer Albeniz, a d' autant plus de mérite, qu'elle quitte son mari une fois devenu président ! Cela dit beaucoup sur l' indépendance et la loyauté de son caractère. Une autre qu 'elle, se serait accomodée dans la parade d'une vie matrimoniale mensongère, plutôt que de renoncer aux privilèges clinquants du titre de "Première Dame" de France!

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C 'est pour tout cela qu'une femme de cette trempe, se doit d’être respectée… bien plus que ces hypocrites (certaines journalistes, qui la critiquent) et qui déjà lorgnent vers le cœur « disponible » du président. Mais lui, la seule qui le consolera sincèrement ( en tout bien en tout honneur!) sera Rachida Dati, ministre de la Justice, et amie intime de l'ex couple, qui demeurera j'en suis sûre, fidèle à l'un et l'autre.

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(1*)Cécilia Maria Sara Isabel Ciganer Albeniz, est née le 12 novembre 1957 à Boulogne-Billancourt. Son grand-père Ciganer est roumain, tsigane (d'où le patronyme de 'Ciganer') et juif (Encyclopédie politique, Emmanuel Ratier). Son fils( le père de Cécilia) André, s'installe à Paris comme fourreur rue François-Ier, puis place Beauvau. Sa mère, Teresita (dite Diane) Albeniz, était espagnole, fille d'ambassadeur et petite-fille du compositeur Isaac Albéniz.

UN VICE CONDUIT A UN AUTRE VICE...

« Si une femme ou un homme a quelque chose à dire, la difficulté n’est pas de le lui faire dire, mais de l’empêcher de le dire trop souvent,ou de lui couper la parole!"

Quand on regarde les débats télévisés en France ou d' ailleurs, on se rend compte que tout n' est que manipulations, mensonges et censures... Tels ce soir, sur la chaîne française la 3, portant sur: " La justice" du Tribunal International, où Jacques Verges, à peine si on l' a laissé terminer ses phrases! Pendant que Bernard Henri Lévi, l'ex-nouveau philosophe était interviewé en solo comme il se doit à un "pistoné" de tous les medias et des présidents de l'exagone et d'Amérique( du Nord!) - quelle que soit leur couleur politique... Tant qu'ils ne fassent pas de la Palestine ou de l'Irak leur cheval de bataille contre la tragédie de ces peuples.

Alors, voilà la Birmanie, le Darfour, mis sur la sellette des émotions mondiales, sans oublier le cynisme diabolique des politiciens de la France de Sarkozy sur l' ADN aux émigrés ( qui dissimule à peine la méthode raciste de la "purification ethnique" par les gènes!).

De la poudre aux yeux sur un fond de cirque "intellectuel", pourvu que l'on n'évoque jamais la vérité sur le génocide rampant et non moins sanglant, des peuples palestiniens et Irakiens!

J' ai dit un"vice conduit à un autre vice"? En effet, il semble que la chaîne des vices politiques en France se réinvente de ses propres fantasmes, au rythme du plus fort de l'histoire du moment... La deuxième guerre mondiale, quand le fort du moment, était Hitler occupant la moitié de l'Europe à coup de croix nazis, avec le Maréchal Pétain, le vice était tout entier dans la délation, les fourgons remplis de juifs convoyés vers les camps de concentration... sans oublier la carte d' identité nationale avec la mention "Juif" obligatoire en France.

Puis vint le vice des crimes de guerres commis par l'armée française en Algérie durant la guerre de libération de ce pays... sans repentance ni reconnaissance!

Et maintenant, au temps de "Guantanamo" et des massacres en masses de peuples, arrive l' ADN pour les émigrés musulmans... Comme on le contaste,Le vice éthique et moral de la politique ici, est une longue chaîne aux anneaux de saigneurs de l' histoire qui n'en finit plus de rabaisser les valeurs humaines.

Heureusement, qu'il nous reste ce bon vieux caricaturiste algéro-americain BENDIB! http://www.bendib.com/ Là-bas aux USA où, quoiqu'on pense de Bush et de ses " sinistres conseillers", la liberté d' opinion, de porter ou pas le hijab et de dessiner, des arabo-musulmans n'est pas ce qu'elle est dans la France des temps présents!