Tout le monde en Algérie, croyait que ce vendredi allait être celui de
la guerre des drapeaux, et de batailles rangées entre citoyens et
policiers. Car le Général ne voulait plus voir d'autre drapeau, que
celui de la nation...
Cependant que certains facebookers devenus soudain courageux derrière leurs écrans, mettaient de l'huile sur le feu en encourageant l'affrontement avec les forces de l'ordre dans le sens, provocation; plutôt que "sylmia" ( pacifique).
Finalement, le général qui ne voulait plus voir d'autre drapeau, que celui de la nation, aura vu son voeu presque réalisé. L'étendard de la souveraineté nationale était porté par la majorité des "hirakiens", en nombre et en longueur. Comme ici, dans, ce qui est à mon avis, la plus belle vidéo, de ce 18e #Hirak
Certes, il y a eu quelques échauffourées à Alger ; mais dans l'ensemble du pays, les manifestants ont encore une fois revendiqué l’union sacrée du peuple algérien dans toute sa diversité linguistique et régionale. Et cerise sur le gâteau, on aura vu aussi les trois drapeaux réunis : algérien, berbère et palestinien... En réponse, je l'espère à ces "mouches électroniques" infiltrées dans certains groupes de facebook, qui au nom d'un "berbérisme néo-sioniste" déversent leur haine contre les Palestiniens et "l'Arabe islamo- baâthiste " pour glorifier sans complexe l’apartheid israélien.
Mais peu importe les racistes culturels et les complotistes de tous poils contre l'unité nationale, la vérité est sortie des slogans et revendications des jeunes du Hirak.
Pour une Algérie, démocratique,
égalitaire et solidaire...
Et civique, et tolérante et digne dans la mémoire de ses Chouhadas.
Sans jamais oublier le respect pour tous ceux et celles qui de L'INTÉRIEUR ou de L'EXTERIEUR du pays, ont contribué par leurs actions armées, ou politico-militaire, par leurs engagements civiles et intellectuelles à la libération nationale de l'Algérie. Ceci dit pour condamner avec la plus grande fermeté, tous les amalgames abominables entre les Moudjahidines des maquis et l'armée des frontières
( réduite à l'hétéronyme dégradant de "clan d'Oujda" par ceux_là mêmes qui favorisent le régionalisme tout en ayant profité du système, l'ont servi, et couvert toutes ses dérives).
Stigmatiser Oujda, ville du Maroc, ou Tunis ou le Caire qui ont fourni des aides incommensurables aux militants du FLN, et aux exilés politiques algériens en lutte contre le colonialisme de leur pays, relève de la plus abominable des ingratitudes, pour ne pas dire de complicité morale avec les méthodes de l'action psychologique" de la " Bleuite" des services secrets militaires de l'occupation, contre nos combattants, à travers la désinformation, l’intoxication et la manipulation. Ainsi l'histoire est-elle condamnée à être écrite par des lâches, et des opportunistes, tant qu'il n'y a pas d'historiens justes, neutres et intellectuellement incorruptibles.
Pour le moment je dirai comme Racine:
"Ce que je sais le mieux, c'est mon commencement."
Car tout commence avec ce formidable Hirak populaire, qui telle ma chrysalide sortant de son cocon, a prit son envol vers un autre défi, celui de réussir sa deuxième révolution, cette fois, pacifique, pour enfin entrer de plain-pied dans le 21e siècle. Une Algérie réconciliée avec son histoire millénaire, Berbère, Arabe, Africaine, Méditerranéenne, et fidèle à son "ADN" d'engagement dans la défense des causes justes.
La haine raciale et culturelle, le séparatisme diffamatoire entre les héros, les "historiques" ou les simples combattants de notre lutte de libération nationale, les identités et les idéologies meurtrières PLUS JAMAIS ÇA !!
Et que Dieu Bénisse notre pays et notre peuple dans la puissance et la beauté de sa pluralité, incha' Allah.
Cependant que certains facebookers devenus soudain courageux derrière leurs écrans, mettaient de l'huile sur le feu en encourageant l'affrontement avec les forces de l'ordre dans le sens, provocation; plutôt que "sylmia" ( pacifique).
Finalement, le général qui ne voulait plus voir d'autre drapeau, que celui de la nation, aura vu son voeu presque réalisé. L'étendard de la souveraineté nationale était porté par la majorité des "hirakiens", en nombre et en longueur. Comme ici, dans, ce qui est à mon avis, la plus belle vidéo, de ce 18e #Hirak
Certes, il y a eu quelques échauffourées à Alger ; mais dans l'ensemble du pays, les manifestants ont encore une fois revendiqué l’union sacrée du peuple algérien dans toute sa diversité linguistique et régionale. Et cerise sur le gâteau, on aura vu aussi les trois drapeaux réunis : algérien, berbère et palestinien... En réponse, je l'espère à ces "mouches électroniques" infiltrées dans certains groupes de facebook, qui au nom d'un "berbérisme néo-sioniste" déversent leur haine contre les Palestiniens et "l'Arabe islamo- baâthiste " pour glorifier sans complexe l’apartheid israélien.
Mais peu importe les racistes culturels et les complotistes de tous poils contre l'unité nationale, la vérité est sortie des slogans et revendications des jeunes du Hirak.
Pour une Algérie, démocratique,
égalitaire et solidaire...
Et civique, et tolérante et digne dans la mémoire de ses Chouhadas.
Sans jamais oublier le respect pour tous ceux et celles qui de L'INTÉRIEUR ou de L'EXTERIEUR du pays, ont contribué par leurs actions armées, ou politico-militaire, par leurs engagements civiles et intellectuelles à la libération nationale de l'Algérie. Ceci dit pour condamner avec la plus grande fermeté, tous les amalgames abominables entre les Moudjahidines des maquis et l'armée des frontières
( réduite à l'hétéronyme dégradant de "clan d'Oujda" par ceux_là mêmes qui favorisent le régionalisme tout en ayant profité du système, l'ont servi, et couvert toutes ses dérives).
Stigmatiser Oujda, ville du Maroc, ou Tunis ou le Caire qui ont fourni des aides incommensurables aux militants du FLN, et aux exilés politiques algériens en lutte contre le colonialisme de leur pays, relève de la plus abominable des ingratitudes, pour ne pas dire de complicité morale avec les méthodes de l'action psychologique" de la " Bleuite" des services secrets militaires de l'occupation, contre nos combattants, à travers la désinformation, l’intoxication et la manipulation. Ainsi l'histoire est-elle condamnée à être écrite par des lâches, et des opportunistes, tant qu'il n'y a pas d'historiens justes, neutres et intellectuellement incorruptibles.
Pour le moment je dirai comme Racine:
"Ce que je sais le mieux, c'est mon commencement."
Car tout commence avec ce formidable Hirak populaire, qui telle ma chrysalide sortant de son cocon, a prit son envol vers un autre défi, celui de réussir sa deuxième révolution, cette fois, pacifique, pour enfin entrer de plain-pied dans le 21e siècle. Une Algérie réconciliée avec son histoire millénaire, Berbère, Arabe, Africaine, Méditerranéenne, et fidèle à son "ADN" d'engagement dans la défense des causes justes.
La haine raciale et culturelle, le séparatisme diffamatoire entre les héros, les "historiques" ou les simples combattants de notre lutte de libération nationale, les identités et les idéologies meurtrières PLUS JAMAIS ÇA !!
Et que Dieu Bénisse notre pays et notre peuple dans la puissance et la beauté de sa pluralité, incha' Allah.
https://www.facebook.com/lemsine.aicha/posts/3182063675167886?__tn__=K-R
1 commentaire:
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