"CHERCHER LA FEMME"... Dans cette expression française, la femme revêt un rôle occulte dans un système où l'initiative reste virile....
Ce que je crois, c ´est, comme dit le dicton, " qui se ressemble, s´assemble"! Vertueux avec une vertueuse, pervers avec une perverse, croyant avec une croyante et vice versa etc... sinon ça ne dure pas longtemps! Cependant qu´en règle générale, physiquement, les opposés s´attirent (à vous de voir)
Pourtant, quels que soient les torts ou le caractère vénal de Leila Trabelsi, ils n´excluent pas la culpabilité de Ben Ali, qui était déjà de la graine de dictateur, avant de l´épouser!
Pour dire les choses comme elles sont, j`ajoute, qu´il serait injuste, et totalement faux de comparer Suzanne Moubarak à LeïlaTrabelsi! L`épouse de l`ex président égyptien, chassé du pouvoir par son peuple, est loin d´être une femme corrompue ou inculte!
La bonne éducation et le raffinement de Suzanne Moubarek, acquis dans son milieu familial avant de se marier, en plus de son caractère discret et naturellement aimable, sont contraires à l`ostentation d`une arriviste affamée de luxe et de gloriole !
Fille d´un médecin égyptien et d`une infirmière galloise, licenciée en sciences politiques, et d´une maîtrise en Sociologie de l`éducation, de l`Université américaine du Caire, Suzanne Moubarak, s´est beaucoup investie dans les associations caritatives de son pays, particulièrement celles des enfants des quartiers déshérités comme Boulaq. En ce qui concerne son "influence" sur son mari (que je ne crois guère) - je pense que Moubarak n´avait comme "conseillère" , que sa propre personnalité dominatrice et rompue au pouvoir personnel! À cela, est venu s`ajouter son délire dynastique par l`entremise de ses fils, tout aussi ambitieux que lui...
Ceci dit, je laisse à votre appréciation cet article qu`un de mes lecteurs ( merci Claude!) vient de m`envoyer.
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Le magazine français Le Nouvel Observateur a révélé de nouveaux secrets sur les dernières heures au pouvoir du président tunisien déchu, Zine El Abidine Ben Ali et sur sa famille avant de quitter le territoire tunisien. Ben Ali a été offusqué par sa femme Leïla en montant à bord de l'avion, à l’aéroport international de Carthage-Tunis.
L’ex-président tunisien a expliqué à sa femme qu’il ne voulait pas quitter la Tunisie. Le magazine Le Nouvel Observateur a indiqué que Ben Ali ne voulait pas prendre l'avion qui l’attendait à l’aéroport international de Carthage-Tunis pour le conduire vers l’Arabie Saoudite ainsi que sa femme. Face au refus de l’ex-président tunisien, sa femme Leïla lui cria : « Monte, imbécile, toute ma vie, il aura fallu que je supporte tes conneries! ». Le magazine rapporte qu’un officier de l’armée de l’air tunisienne, dont elle n’a pas dévoilé l’identité, a assisté à la scène. Il explique que Ben Ali, 74 ans, qui a gouverné la Tunisie avec une main de fer jusqu’à sa chute le 14 janvier dernier aurait réagi d’une manière indigne de son statut de président de ce pays. Cet officier raconte que Zine El Abidine Ben Ali a refusé de monter dans l'avion. En effet, il a résisté sur le tarmac de l'aéroport de Tunis, s’est tordu les mains, a serré sa petite mallette noire, son seul bagage et a essayé de rebrousser chemin vers la Mercedes noire qui venait de le déposer. Il supplia : « Laissez-moi, je ne veux pas y aller, je veux mourir ici dans mon pays ». Mais sa femme et le directeur de la sécurité, Ali Seriati, l’ont obligé à monter dans l’avion. « Tu vas monter… », lui a crié Seriati. Suite à l’insistance de sa femme et du directeur de la sécurité, Ben Ali décide enfin de monter à bord de l’avion accompagné par de sa femme Leïla, de leur fils Mohamed, de sa fille Halima, du fiancé de celle-ci, du serviteur Moustafa, qui a tenu à les accompagner et de deux employées de maison philippines. Des sources proches de la famille Ben Ali estiment que l’ex-président tunisien suivait à la lettre les « ordres de sa femme Leïla, appelée en Tunisie « Macbeth de Carthage ». En effet, Ben Ali exécutait à la lettre ses recommandations. Apres que les médecins lui ont diagnostiqué un cancer de la prostate, il a émis le vœu de se retirer de son poste, mais Leïla l’a convaincu de rester à la tête de la Tunisie. Les mêmes sources estiment que Leïla Ben Ali voulait que son mari reste au pouvoir jusqu’à ce que son fils Mohamed soit en mesure de remplacer son père à la tête de la Tunisie, ou qu’elle se porte candidate à la présidentielle. L’officier qui a accompagné l’ex-président tunisien durant le vol raconte que Ben Ali se rendait chaque 10 minutes au cockpit et disait au commandant de bord qu':« une fois arrivés à Djeddah, tu me ramènera en Tunisie, n’est-ce pas ? »..
1 commentaire:
Merci pour ton aide, je suis toute nouvelle dans le monde de votre blog.
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